Logótipo Próximo Futuro

Blogue

"El Rego, el padrino del Afro-funk"

Publicado20 Dez 2011

Etiquetas afro-funk benin el rego fela kuti k. frimponq

Al escuchar Feeling You Got resulta inevitable aventurar que si James Brown hubiese nacido en África, respondería al apelativo de El Rego. Considerado como “el padrino del afro-funk”, Theophile Rego es toda una leyenda local en Benin a la espera de un mayor reconocimiento a nivel internacional. No se esfuercen en buscar su nombre en Wikipedia porque, aunque su relevancia artística es equiparable a la de Fela Kuti en Nigeria o K. Frimpong en Ghana, su legado ha permanecido eclipsado durante décadas. Una omisión que sellos especializados como Analog Africa y Daptone se han encargado de subsanar en los últimos años, gracias a recopilatorios como African Scream Contest Raw & Psychedelic Afro Sounds From Benin & Togo 70s (Analogue Africa, 2008), Legends of Benin (Analogue Africa, 2008) o el definitivo El Rego (Daptone, 2011).

Para continuar a ler o artigo de David Bizarro e ouvir "Feeling you got", basta navegar até aqui.

"Tahrir : la répression militaire en images"

(film still de filmagens da repressão militar no Cairo)

Nouvel épisode de violence ce week-end sur la place Tahrir. Les forces de l'ordre ont donné l'assaut au sit-in des révolutionnaires devant le siège du gouvernement ainsi qu'au camp de toile dressé sur la place. Dix manifestants ont été tués dans cette attaque et près de cinq cents ont été blessés. Les révolutionnaires, présentés comme des vandales par les médias officiels, réclament le départ du conseil militaire qui gouverne l'Egypte depuis la chute de Moubarak.

Cette nouvelle vague d'affrontements se distingue par le fait que la répression a été conduite non pas par les unités anti-émeutes de la police, la sinistre "Amn Al-Merkazi" (Sécurité centrale), comme cela avait été le cas à la fin du mois de novembre, mais par la police militaire, autrement dit l'armée elle même. Tirs à balles réelles, bastonnade, acharnement à dix contre un sur des manifestants déjà au sol : on constatera à la vue de la vidéo ci-dessous que la police militaire n'a rien à envier en terme de bestialité à la police tout court.

Para continuar a ler o artigo de Benjamin Barthe no Le Monde basta clicar aqui.

Destaques do Público elegem 3 espectáculos PRÓXIMO FUTURO!

Grande destaque no jornal Público de hoje (suplemento ípsilon) para três peças apresentadas no CAM da Fundação Calouste Gulbenkian, no âmbito do Programa Gulbenkian PRÓXIMO FUTURO!

Nos 10 destaques da secção "Teatro": o 1.º lugar coube a "Villa+Discurso" (na foto), do encenador chileno Guillermo Calderón, apresentada no Programa Gulebnkian Próximo Futuro nos dias 1, 2 e 3 de Julho de 2011. O 2.º lugar foi atribuído à peça "Woyzeck on the Highveld", do encenador e artista sul-africano William Kentridge, também programada pelo Próximo Futuro e com lotação esgotada nos dias 16, 17 e 18 de Junho de 2011.

Nos 9 destaques da "Dança": coube ao coreógrafo brasileiro Vanilton Lakka o 5.º lugar, com o espectáculo "O Corpo é a Mídia da Dança + Outras Partes", apresentado no Próximo Futuro nos dias 22 e 23 de Junho de 2011.

Mais informações sobre estes espectáculos, no site do Próximo Futuro.

"Au Sénégal, les rappeurs contre Abdoulaye Wade"

Simon Kouka et Cheikh Fadel Barro, du mouvement Y'en a marre à Dakar, en juin 2011.AFP/SEYLLOU 

Youssou N'Dour, candidat à la présidence du Sénégal en 2012 ? L'idée a fait l'effet d'une bombe à Dakar, le 5 décembre, lorsque le chanteur a donné une conférence de presse pour l'ouverture des locaux de son mouvement, Fekké Maci Bole (littéralement "C'est parce que je suis témoin, que je participe"). A travers ce mouvement, Youssou N'Dour compte peser dans les élections du 26 février 2012.
Le roi du mbalax a annoncé qu'il mettait sa carrière entre parenthèses à partir du 2 janvier 2012 pour se consacrer à la politique, laissant planer le doute sur sa candidature. Le 9 décembre, son avocat retirait bien à la direction générale des élections le document nécessaire à son inscription, mais l'entourage du chanteur affirme aujourd'hui que la star ne s'est pas encore décidée.

Youssou N'Dour a beau être un homme d'affaires avisé, connaissant les arcanes du pouvoir, de là à se lancer dans l'arène politique, il y a un pas à franchir. Sa popularité risque d'être fort mise à mal : "Il sera traité de la même manière que tous les autres candidats", prévient Fou Malade, 37 ans, membre du mouvement, Y'en a marre.
Depuis janvier, ce collectif constitué de rappeurs (Keur Gui, Simon, Fou Malade, 5kieme Underground, Xuman...) et du journaliste de La Gazette Cheikh Fadel Barro a lancé sa campagne, appelée "électo-rap". Y'en a marre a d'abord appelé à manifester le 19 mars, date anniversaire de l'alternance au Sénégal après quarante ans de socialisme, a milité pour que les jeunes s'inscrivent sur les listes électorales, comptabilisant 357 000 nouveaux électeurs, et a participé activement à la manifestation du 23 juin devant l'Assemblée nationale.
Cette manifestation a fait reculer le président actuel, Abdoulaye Wade, qui voulait modifier la Constitution pour pouvoir se présenter à un troisième mandat aux côtés de son fils Karim. C'est lors de ces événements que Y'en a marre s'est fait connaître de tout le Sénégal. Deux de ses rappeurs, Fou Malade et Thiat, du groupe Keur Gui, étaient arrêtés pendant un sit-in, et un troisième, Simon, tabassé au commissariat, pour avoir demandé leur libération : "En sortant", raconte ce Dakarois de 32 ans qui a fait ses études en France, "je n'ai pas porté plainte contre les policiers. Mais je l'ai fait de manière symbolique, en diffusant sur Internet une vidéo où je montrais mes hématomes : je voulais que les Sénégalais sachent qu'il y avait une nouvelle jeunesse qui était prête à prendre des coups pour qu'on ne touche pas à la Constitution." Wade a bien essayé de contrecarrer Y'en a marre en finançant d'autres rappeurs : les seconds couteaux Requin, Pacotille... mais rien n'y fait.
Para continuar a ler a notícia do Le Monde, basta ir aqui.

A Moda em Moçambique

Publicado15 Dez 2011

Etiquetas carla silva mia mendes moçambique moda

Seda de Mia Mendes e glamour de Carla Silva recebidos com aplausos

A Moda em Moçambique, aqui.

Tunisie : l'ancien opposant Moncef Marzouki a prêté serment

Publicado14 Dez 2011

Etiquetas ben ali hamadi jebali moncef marzouki revolução tunísia

Le nouveau président de la République tunisienne, Moncef Marzouki, a prêté serment, mardi 13 décembre, devant les élus de l'Assemblée constituante et les sommités de l'Etat. "Je serai garant des intérêts nationaux, de l'Etat des lois et des institutions, je serai fidèle aux martyrs et aux objectifs de la Révolution", a-t-il déclaré en prêtant serment, la main sur le Coran.

Moncef Marzouki, opposant historique de Ben Ali, a été élu président de la République tunisienne, lundi 12 décembre, par l'Assemblée constituante. A 66 ans, le dirigeant du Congrès pour la République (CPR, gauche nationaliste), a été élu par 153 voix pour, 3 contre, 2 abstentions et 44 votes blancs sur un total de 202 votants, parmi les 217 membres de la constituante. Sa première mission sera de désigner le chef du gouvernement, qui devrait être l'islamiste Hamadi Jebali.

Para continuar a ler e ver as imagens da televisão tunisina, via Reuters, basta clicar aqui.

DOCtv: rede de apoio aos documentários ibero-americanos

"Uma fronteira, todas as fronteiras" (filme de David Pablos Sanchéz)

Doctv é o primeiro programa de incentivo à produção e teledifusão de documentários ibero-americanos. Surge como uma iniciativa da Conferencia de Autoridades Cinematográficas de Iberoamérica- CACI e da Fundación del Nuevo Cine Latinoamericano. Seu propósito é a realização de Concursos Nacionais de Seleção de projetos de documentário nos países que aderiram ao programa.

Inspirado na experiência prévia do Brasil, Doctv é um modelo pioneiro de coprodução, teledifusão e distribuição de documentários, sistematizado a partir do conceito de operação em rede. Seus objetivos fundamentais são: promover o intercâmbio cultural e econômico entre os povos ibero-americanos; a implementação de políticas públicas integradas para promover a produção e teledifusão de documentários nos países da região; e a difusão da produção cultural dos povos ibero-americanos no mercado mundial.

A REDE Doctv é uma aliança estratégica das autoridades audiovisuais e de televisão pública, atualmente composta por quinze países latino-americanos: Argentina, Bolívia, Brasil, Chile, Colômbia, Costa Rica, Cuba, Equador, México, Panamá, Peru, Porto Rico, Uruguai e Venezuela.

As ações relacionadas ao programa são custeadas pelo FUNDO Doctv, implementado pela Secretaria Executiva da Cinematografia Ibero-Americana - SECI e sustentadas pelos países anunciantes e patrocinadores do Programa Doctv que, para a produção de documentários, é complementado com contribuições nacionais.

Para saber mais sobre a REDE Doctv, basta navegar até aqui.  

Art Basel Miami Beach

Publicado12 Dez 2011

Etiquetas art basel miami beach eua feira de arte

Art Basel Miami Beach 2011, aqui.

"Come Together"

© Neta Alonim 

On Sunday night, the fashion collective Three as Four opened its highly anticipated exhibition “Insalaam Inshalom” at the Beit Ha’Ir Center for Urban Culture in Tel Aviv, bringing to fruition a project over two years in the making. Covering the walls of the four-story building in fabric printed with their spring collection’s central motifs, which are made of a mix of Muslim and Jewish symbols, the designers Gabi Asfour, Adi Gil and Ange Donhauser invited 10 artists to show works that relate to the project’s central notion: that Judaism and Islam can live side by side. “We’ve accumulated the energy of artists and performers who are like-minded,” Asfour said. “We tried to balance things from all sides, though it’s always difficult.”

Featured in the show are pieces by Yoko Ono, Joseph Dadoune and Jessica Mitrani, to name a few. Installations, video works, textiles and photography are among the works on display throughout the center’s “Insalaam Inshalom”-patterned walls. The performers at Sunday’s event included the Cyprus-born, New York-based director/choreographer Maria Hassabi, who wore cotton overalls from the Three as Four collection. Carrying a rolled-up rug on her slight frame, she slowly made her way down a flight of stairs into a cramped performance area, stopping every few seconds in different sculptural positions. Having arrived, she released the rug behind her back and wrapped herself in it as in a cape. At other moments she lay on it as well as under it as if it were a blanket.

Para continuar a ler o artigo no NYTimes, basta clicar aqui.

"La grande solitude des progressistes"

Les résultats officiels du premier tour de la première phase des législatives égyptiennes seront annoncés ce soir mais on sait d'ores et déjà qu'ils seront mauvais pour ce que l'on appelle les progressistes, une nébuleuse qui englobe les partis de gauche et du centre, opposés aussi bien aux islamistes qu'aux "fouloul", le terme qui désigne les anciens du PND (parti national démocratique), la formation au pouvoir sous Moubarak, qui se présentent sous une multitude d'étiquettes.

Le Bloc égyptien, la principale coalition progressiste n'arrive qu'en troisième position, loin derrière les Frères musulmans, crédités d'environ 40% des voix et les Salafistes, une déclinaison ultra-rigoriste de l'Islam, qui devrait rafler 20% des suffrages. La révolution continue, une coalition de petits partis pro-révolution, créés dans la foulée de la chute de Hosni Moubarak, écope d'un score encore plus mauvais. Parmi les échecs les plus symboliques, on peut relever :

- la défaite au premier tour de Gamila Ismaïl : dans la circonscription de Kasr El-Nil, qui englobe pourtant des quartiers huppés comme Zamalek et Garden City, cette ancienne présentatrice de télévision, soutenue par le parti libéral Al-Ghad et par le mouvement du 6 avril, l'un des piliers du soulèvement de la place Tahrir, n'arrive qu'en troisième position.

(...)

Para continuar a ler o artigo de Benjamin Barthe no Le Monde, basta clicar aqui, e aqui para a fonte da imagem.

"Unpacking my library"

Publicado6 Dez 2011

Etiquetas colecções escritores gary shteyngart leah price livros

Gary Shteyngart (Gabrielle Reed and Christian Lazen-Bernardt; and Michael K. Mills)

Six writers and their book-collecting habits

I’m big on sniffing books. The old Soviet ones really have this strong smell, reminding me, for some reason, of tomato soup in a cheap Soviet cafeteria.

The oldest book in my collection is one of the first books I read as a four- or five-year-old. A Swedish children’s book, in Russian, the title of which translates as The Adventures of Nils and the Wild Geese. The book began to fall apart from many readings and is lovingly wrapped up in layers of Soviet masking tape.

Nabokov’s Pnin is very important. A work that is so humane and at the same time hilarious. But let’s not forget my full collection of Sopranos DVDs. This is storytelling for the new century.

Some books are so good they are slightly lumped together, the Nabokovs and Roths, for example. But mostly I want to be surprised every time I look at the shelves. Who knows where anything is?

Para continuar a ler o artigo do Leah Price sobre a colecção de livros de 6 escritores (entre os quais, Gary Shteyngart), basta clicar aqui.

"How Black People See White Culture: Darkest Austria"

Anthropologist Kayonga Kagame of Kinshasa University

How’s that for a perspective shift? The Tribes of Darkest Austria – Africans explain the white world, a mockumentary... 

KYEYUNE's "The Kampala I Will Always Come Back To"

Ugandan artist George W. Kyeyune, 2011 (photo by Thomas Bjørnskau)

KYEYUNE's The Kampala I Will Always Come Back To: Sanitised Economic Injustices and the Risk of Propaganda

On 14 October 2011 George William Kyeyune mounted his ‘The Kampala I Will Always Come Back To’. The exhibition showcased the artist’s recent paintings representing the hard sociopolitical struggles that the man/woman on the streets of Kampala goes through.

In this article I show and argue that as representations of life in Kampala, Kyeyune's paintings are not portraits of individuals or groups. They are in the first place art. In the second, they are sanitised versions of reality intended to suit middle class and tourist aesthetic tastes. In the third place, they carry the risks of pandering to state propaganda.

Para continuar a ler o artigo de Angelo Kakande (F.J.) no "Journal of Arts and Culture in East Africa" basta clicar aqui

"Moderate Islamist Party Winning Morocco Election"

Publicado30 Nov 2011

Etiquetas eleições marrocos primavera árabe

© Abdelhak Senna/Agence France-Presse - Getty Images

RABAT, Morocco — A moderate Islamist party appeared Saturday to have won parliamentary elections in Morocco, the second time in weeks that voters in the region have chosen Islamists in elections brought on by the Arab Spring.

The Justice and Development Party won a plurality of the vote, the first under the country’s new Constitution, according to partial election returns announced by the government on Saturday. If those results hold up, the king will be required to choose a prime minister from the party and the party will have the right to lead a coalition government.

The Constitution, drafted by King Mohammed VI in response to pro-democracy protests last spring, still reserves important powers for the king, including over military and religious matters, and remains a far cry from the constitutional monarchy demanded by the protesters. But the government will be Morocco’s first popularly elected one, with the power to appoint ministers and dissolve Parliament.

Para continuar a ler o artigo de Souad Mekhennet (Rabat) e Maïa de la Baume (Paris) no New York Times, basta clicar aqui.

"Sorry for the Delay", com 340ml (Maputo-Joanesburgo)

Publicado29 Nov 2011

Etiquetas 340ml joanesburgo maputo sorry for the delay

340ml e o álbum "Sorry for the Delay": música de Moçambicanos que trabalham e estudaram em Jo'burg, agora também na CNN...!

NETWORKED: para que serve uma rede?

Publicado28 Nov 2011

Etiquetas london networked blog triangle network

Depois de dois dias de conferências abertas ao público sobre a importância de estar em rede, a Triangle Network repensa o seu próprio modelo reunindo hoje em Londres, no ICA, cerca de 40 parceiros oriundos dos vários continentes.

Mais sobre esta reflexão em torno da rede no blogue da Triangle Network: Networked Blog.

"Mozambique, Africa's rising star"

Publicado25 Nov 2011

Etiquetas arte guerra moçambique turismo

How Mozambique turned from war zone to tourist hotspot

(CNN) -- Once marred by conflict, Mozambique is slowly emerging as a popular tourist destination as people are drawn in by the tropical weather, beautiful beaches and rich culture.

Mozambique's capital, Maputo is a vibrant and cosmopolitan city bursting with lively sidewalk cafes and jazz venues.

One of Maputo's landmark buildings is the train station designed by an associate of the famous French engineer Alexandre Gustave Eiffel.

Today the train station he inspired rarely sees trains, instead its jazz cafe is among the city's best night spots.

The music likely to be performed there is marrabenta, a mix of traditional and urban dance music that was born in the capital.

"It's really become a national genre," said Joao Carlos Schwalba, a musician with the band Ghorwane.

"It was created in the south but slowly it has such a strong rhythm, it really became a national rhythm you can hear it in the south, the center and the north," he continued.

The official language is Portuguese, after settlers first arrived in Mozambique in the 15th century.

Colonial era architecture and relics can be found across the country but the nation has also preserved much of its African cultural heritage, making for an interesting and diverse mix of old and new.

The city has undergone major redevelopment since the end of the civil war and any reminders of the country's brutal past are being carefully transformed in to points of interest. And it is proving a draw with tourists; government figures show that four times as many tourists visited the country in 2010 compared to 2004.

Investment in tourism began in 1992, following a peace agreement, which brought an end to 16 years of civil war in the country.

The old fort in the capital, built by the Portuguese nearly 200 years ago, is a symbol of the country's, sometimes violent, colonial past.

But a group of Mozambique artists are working in the building to transform reminders of Mozambique's more recent civil war into pieces of art.

Para continuar a ler, basta ir aqui.

"Paraná Ra'Anga", do Paraguai

Paraná Ra’Anga, que en guaraní significa “alma, espíritu o figura del Paraná” se trata de una expedición fluvial de carácter multidisciplinario entre las ciudades de Buenos Aires y Asunción a través de un solo recorrido: el cauce que hilvana los ríos de la Plata, Paraná y Paraguay. En el proyecto, liderado por el Centro Cultural Parque de España de Rosario, también participan los centros culturales de España de Buenos Aires, Córdoba y Asunción, todos ellos parte de la red de centros culturales de la Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID).

(...)

Para ler mais sobre a exposição basta ir aqui e é possível descarregar o catálogo aqui.

"Intenções editoriais: quem lê e quem escreve, para quê"

Publicado23 Nov 2011

Etiquetas brasil festival panoramas do sul seminário videobrasil

 

A acontecer já desde o dia 24 de Setembro de 2011, o 17o Festival Internacional de Arte Contemporânea SESC - Videobrasil "apresenta a série de Seminários Panoramas do Sul, concebido como um convite de abordagem a aspectos relevantes em torno da produção e difusão da arte contemporânea produzida no contexto do território-zona. (...) Os seminários pretendem propor aos participantes sensibilizações conceituais e críticas que possibilitem a visualização de formas de diálogo e trânsito não apenas entre os agentes do 'Sul', mas também nas suas múltiplas formas de relação com o que talvez possamos chamar aqui e agora de 'Norte'. Idealizadas em torno de quatro eixos temáticos (formação, redes, curadoria, publicações), as mesas têm como ponto de partida os seguintes motes de observação e discussão em torno das práticas formativas, institucionais, curatoriais e editoriais públicas (com os quais conforma-se tal campo propício a inúmeras ligações, confrontos, desgastes e paradoxos de forma dinâmica):

-          A arte como terreno de formação do cidadão

-          A instituição à margem das redes de arte

-          Intenções curatoriais: 'curando o Sul sem bússola'

-          Práticas editoriais: quem lê e quem escreve, para o que

Cada sessão de trabalho conta com um mediador, que apresentará o recorte temático à audiência. A seguir, um convidado virtual apresenta em vídeo um comentário crítico acerca do tema a ser discutido. A apresentação de dois estudos de caso oferece elementos e subsídios partir dos quais se explicitarão diferentes dimensões dos assuntos abordados. Ao final, um debatedor sintetizará o conjunto de questões apresentadas, na tentativa de lançar e promover a reflexão, junto ao público, de um pensamento que seja capaz de dar vistas ao agora aqui da arte."

A próxima (e última) sessão está programada para dia 10 de Dezembro, das 14h às 18h, e é dedicada ao tema "Intenções editoriais: quem lê e quem escreve, para quê", com "artistas conceituais, críticos e curadores usam publicações para promover uma nova expressão artística".
 
Mediação: Fernando Oliva | Convidado virtual: Miguel López | Estudo de caso 1: Revista Tatuí, Clarissa Diniz | Estudo de caso 2: Asterisco 9, Luisa Ungar e Nadia Moreno | Debatedora: Lisette Lagnado. Vagas: 120 | SESC Belenzinho | Sala de Espetáculos 2
Mais informações, aqui.
 

Chimamanda Adichie: "The danger of a single story"

Publicado22 Nov 2011

Etiquetas chimamanda adichie história literatura talk

Our lives, our cultures, are composed of many overlapping stories. Novelist Chimamanda Adichie tells the story of how she found her authentic cultural voice -- and warns that if we hear only a single story about another person or country, we risk a critical misunderstanding.

TALK: "The danger of a single story". (18'44'')

"Subtil Violência", de ROBERTO HUARCAYA, em Lisboa

Publicado21 Nov 2011

Etiquetas fotografia roberto huarcaya

© Roberto Huarcaya, "Playa Pública / Playa Privada", 2010. Cortesia do artista

Já inaugurou a primeira exposição individual em Portugal do fotógrafo peruano Roberto Huarcaya, que em 2010 ganhou o Prémio de Fotografia "Petrobrás - Buenos Aires" com uma das 28 imagens que agora integram a sua mostra na galeria do Palácio Galveias ("Playa Pública / Playa Privada", 2010).

A mostra enquadra-se na programação do PRÓXIMO FUTURO, em parceria com o Programa Gulbenkian de Ajuda ao Desenvolvimento. É co-produzida pela Casa da América Latina (em Lisboa), com o apoio da Câmara Municipal de Lisboa e da Embaixada do Peru. Intitula-se "Subtil Violência" e é também composta por 3 vídeos que partem de questões fotográficas.

Aqui, encontram uma das várias notícias que têm saído sobre a exposição. Para ver até 15 de Janeiro de 2012, com entrada livre (terça a sexta, das 10h00 às 19h00; sábado e domingo, das 14h às 19h).

Mais informações no site do Próximo Futuro e/ou através do email [email protected]

Visita Guiada por Roberto Huarcaya: este sábado às 17h00

Publicado18 Nov 2011

Etiquetas exposição fotografia roberto huarcaya visitas guiadas

PROCHAIN FUTUR: "Nollywood" à Paris

© Pieter Hugo, “Chris Nkulo and Patience Umeh. Enugu, Nigéria”, 2008

(da série "Nollywood"). Cortesia STEVENSON, Cidade do Cabo e Yossi Milo, Nova Iorque 

Hoje é dia das "Grandes LIÇÕES" em Paris (no Théâtre de la Ville), no final das quais, às 19h00, inaugurará a exposição "Nollywood", do reconhecido fotógrafo Pieter Hugo, recentemente galardoado com o mais importante prémio dos Encontros Fotográficos de Bamako ("Prix Seydou Keïta").

A exposição é organizada pelo Programa Gulbenkian Próximo Futuro/Prochain Futur em parceria com o Programa Gulbenkian de Ajuda ao Desenvolvimento e co-produção com o Théâtre de La Ville de Paris. Tem a curadoria de António Pinto Ribeiro e de Federica Angelucci, estando em exibição no Théâtre de la Ville de Paris até 30 de Dezembro de 2011.

Nollywood 

 Na série de fotografias intitulada “Nollywood”, Pieter Hugo confronta o papel do fotógrafo no domínio onde interagem a ficção e a realidade. “Nollywood” é considerada a terceira maior indústria cinematográfica do mundo, lançando perto de 1000 filmes por ano para o mercado de home vídeo. Tal abundância é possível devido ao facto de os filmes serem realizados em condições que assustariam a maioria dos realizadores independentes ocidentais. Os filmes são produzidos e comercializados em apenas uma semana: equipamentos de baixo custo, guiões muito básicos, actores escolhidos no próprio dia da filmagem, locais de filmagem da ’vida real’.

Em África, os filmes de “Nollywood” são um raro exemplo de auto-representação nos meios de comunicação social. A rica tradição de narração de histórias do continente, comunicada de forma abundante através da ficção oral e escrita, é transmitida, pela primeira vez, através dos meios de comunicação social. As histórias na tela reflectem e apelam às vivências do público: os protagonistas são actores locais; os enredos confrontam o espectador com situações familiares de romance, comédia, bruxaria, corrupção, prostituição. A narrativa é exageradamente dramática, sem finais felizes, trágica. A estética é ruidosa, violenta, excessiva; nada se diz, tudo se grita.

Nas suas viagens pela África Ocidental, Hugo tem-se intrigado por este estilo distinto de construção de um mundo ficcional onde se entrelaçam elementos do quotidiano e do irreal. Ao pedir a uma equipa de actores e assistentes para recriar mitos e símbolos de “Nollywood” tal como se estivessem em sets de filmagem, Hugo iniciou a criação de uma realidade verosímil. A sua visão da interpretação do mundo pela indústria cinematográfica resulta numa galeria de imagens alucinatórias e inquietantes.

A série de fotografias retrata situações claramente surreais mas que podiam ser reais num set de filmagens; para além disso, estas estão enraizadas no imaginário simbólico local. Os limites entre documentário e ficção tornam-se bastante fluidos e somos deixados a pensar se as nossas percepções do mundo real são de facto verdadeiras.

Federica Angelucci

Pieter Hugo nasceu em 1976 e cresceu na Cidade do Cabo, onde continua a residir. As suas participações em exposições colectivas actuais e futuras incluem “Urban Lives”,na Shoshana Wayne Gallery (Califórnia), “All Cannibals”, na Collectors Room (Berlim), “ARS 11”, no Kiasma Museum of Contemporary Art (Helsínquia), Mannheim Photo Festival (Alemanha) e “The Global Contemporary: Art worlds after 1989”, no ZKM Center for Art and Media (Karlsruhe). As suas mais recentes exposições individuais decorreram no Institute of Modern Art (Brisbane, 2010), na Yossi Milo Gallery (Nova Iorque, 2010), no Le Chateau d'Eau em Toulouse (França, 2010), no Australian Centre for Photography (Sydney, 2009) e no Foam Fotografiemuseum (Amesterdão, 2008). As suas participações em exposições colectivas incluem “The Endless Renaissance”, no Bass Museum of Art, em Miami Beach (Florida, 2009), “Street & Studio: An urban history of photography”, no Tate Modern (Londres, 2008), “An Atlas of Events”, na Fundação Calouste Gulbenkian (Lisboa, 2007) e a 27ª Bienal de São Paulo (Brasil, 2006). Foi galardoado com o primeiro prémio na categoria de Retratos no concurso da World Press Photo (2006) e ganhou o Prémio Standard Bank para o Melhor Jovem Artista Plástico (2007). Em 2008, foi galardoado com o Prémio KLM Paul Huf e com o Prémio Descoberta 2011, no Festival de Fotografia Rencontres d’Arles, em França. Em 2011 recebeu o grande "Prix Seydou Keïta" dos 'Encontros de Bamako', a mais importante bienal de fotografia africana.

Mais informações no site do Próximo Futuro e/ou através do email [email protected]

PROCHAIN FUTUR: Grandes Leçons et Pieter Hugo à Paris

© Pieter Hugo, “Emeka Onu. Enugu, Nigéria”, 2008 (da série "Nollywood").

Cortesia STEVENSON, Cidade do Cabo e Yossi Milo, Nova Iorque 

Amanhã, dia 18 de Novembro (6f), das 14h às 18h, repetem-se no Théâtre de la Ville de Paris as GRANDES LIÇÕES apresentadas ontem na sede da Fundação Calouste Gulbenkian pelo Programa Gulbenkian Próximo Futuro, fruto de uma co-produção que também envolve o Programa Gulbenkian de Ajuda ao Desenvolvimento, a Casa da América Latina (Lisboa), a CML, a Embaixada do Peru e a ACEP.

Às 19h, também no Théâtre de la Ville de Paris, inaugura a mais recente exposição do fotógrafo sul-africano Pieter Hugo (recém-galardoado com o grande prémio "Seydou Keïta" dos Encontros de Bamako), intitulada "Nollywood", com curadoria de António Pinto Ribeiro e Federica Angelucci.

Aproveitamos para disponibilizar todas as sinopses e biografias em francês:

GRANDES LEÇONS

GUSTAVO FRANCO

Indices du bonheur, actuel et futur, au Brésil: aspects conceptuels et déterminants économiques

Les problèmes d’ordre conceptuels inhérents aux indicateurs subjectifs du bonheur, qui ont récemment suscité une vaste production bibliographique dans le milieu académique, remontent aux origines-mêmes de la discipline. Ceci étant les progrès intervenus ces dernières années à la croisée entre économie et psychologie ainsi que le développement de ladite ‘économie expérimentale’ ont ouvert de nouvelles avenues visant l’élaboration et l’usage de ces indicateurs-là, qu’il s’agisse d’exploiter ou d’établir de nouveaux caps pour les politiques publiques. Dans le cadre de ce nouveau domaine de recherche se posent certaines questions primordiales, à savoir le rapport entre le niveau des revenus, ou plus généralement l’essor économique, et les indices du bonheur actuel et futur de divers pays. Plusieurs paradoxes existent à l’égard de ce rapport, l’un d’eux revient systématiquement dans bon nombre de recherches et concerne le résultat empirique selon lequel le progrès matériel a une influence aussi petite que restreinte lorsqu’il s’agit de définir le degré du bonheur. C’est sur cet axe qu’apparaissent les questions à propos du PIB et son taux de croissance comme étant l’objectif majeur des politiques publiques, probablement au détriment d’autres dimensions de la vie en société. Toutefois, les chiffres relatifs au Brésil suggèrent que nous fassions une lecture prudente de ces paradoxes; il serait peut-être prématuré d’abandonner les indicateurs strictement économiques de l'affluence. Bien qu’il s’agisse d’un pays émergent à revenu moyen, l’indice du bonheur actuel, mesuré de façon systématique par Gallup Poll, se situe dans le premier quart de la distribution globale et l’indice du bonheur futur du Brésil occupe le premier rang à l’échelle mondiale depuis cinq ans. Les résultats brésiliens, tout comme leurs déterminants, fournissent un excellent point de vue pour un débat plus ample sur le sens, la portée et les répercussions des indices du bonheur dans une optique de politiques publiques et des calculs qui en découlent.

Gustavo H. B. Franco est à la fois membre du Conseil d’administration de la Banque Daycoval (conseiller indépendant) et de celui de Globex Utilidades S/A. De nationalité brésilienne, il a terminé ses études universitaires, filière Economie, à la PUC – Pontifícia Universidade Católica de Rio de Janeiro en 1982, puis a enchaîné sur des 3ème cycles à l’université d’Harvard : M.A. (1985) et Ph.D (1986). Entre 1986 et 1993, il a non seulement enseigné mais encore fait de la recherche et du conseil spécialisé en questions économiques – inflation, stabilisation et économie internationale. Dans le service public, il a ensuite occupé plusieurs postes de 1993 à 1999 : au ministère des Finances en tant que secrétaire-adjoint chargé de Politique économique ; directeur aux Affaires internationales et président de la Banque centrale du Brésil. Parmi ses maintes activités, il a joué un rôle primordial dans le cadre du plan Real ; en formuler les termes, le rendre opérationnel et assurer son administration. A l’issue d’une année sabbatique (1999), il a fondé Rio Bravo Investimentos (2000), une société d’investissements qui correspond aujourd’hui à son activité principale. Il appartient aussi à plusieurs conseils d’administration et consultatifs et est régulièrement sollicité dans le but d’intervenir dans l’évènementiel d’entreprises.

BENJAMIN ARDITI

Le devenir-autre du politique: Notre futur proche s’inscrit dans le post-libéralisme et la politique virale

Je proposerais deux critères permettant de sous-tendre le devenir-autre du politique. L’un vient du fait que nous opérions d’ores et déjà dans un cadre post-libéral compte tenu du dépassement de deux piliers du libéralisme; d’abord parce que le politique va au-delà de la représentation électorale et déborde les frontières territoriales de l’Etat souverain, ensuite quoique les personnes ne se connaissent pas les unes les autres elles peuvent agir de concert sans avoir à solliciter en permanence les structures de commandement propres aux partis politiques et aux mouvements sociaux. A propos des systèmes ouverts ayant multiples points d’accès, l’image du rhizome de Deleuze montre comment penser ce genre de coordination. J’y ferai appel pour parler de la connectivité virale et de la politique virale qui se nourrissent des nouveaux média. J’examinerai ces deux indicateurs du devenir-autre du politique en évoquant brièvement une série d’insurrections, de l’argentin “Qu’ils s’en aillent tous, qu’il n’en reste aucun” à plusieurs autres mouvements qui ont vu le jour cette année-ci: les étudiants chiliens; les révoltes en cours, au Maghreb, et le M-15, en Espagne. Quel qu’en soit le dénouement, j’ai le sentiment que ces insurrections renvoient aux «médiateurs disparaissants» dont parle Fred Jameson; en quelque sorte des médiateurs qui font office de symptôme de l’émergence de notre devenir-autre. Pour terminer, je ferai une ébauche de la politique virale et chercherai à en évaluer les pour et les contre.

Benjamin Arditi est professeur d’Etudes politiques à l’université nationale autonome du Mexique (UNAM). Il a fait son doctorat de 3ème cycle à l’université d’Essex, au Royaume-Uni. Professeur près les universités Santa Catarina (Brésil), Maryland (Etats-Unis) et d’Essex (RU), il a également été invité à dispenser des cours auprès des universités d’Edimbourg et de Saint Andrews (Royaume-Uni). Au Paraguay, il est à la fois directeur de recherche au sein d’une ONG, journaliste et activiste. Après la chute de Stroessner, il y a lancé une campagne d’éducation civique à l

Grandes Lições e inauguração de "Subtil Violência"

16 de Novembro é dia de Grandes Lições, com os conferencistas internacionais Benjamin Arditi (México), Elikia M'Bokolo (República Democrática do Congo), Gustavo Franco (Brasil) e Serge Michailof (França), terminando às 19h00 com a inauguração da exposição "Subtil Violência" do fotógrafo peruano Roberto Huarcaya.

PROGRAMA

10h00 – Abertura, Emílio Rui Vilar, Presidente, Fundação Calouste Gulbenkian

10h30 – Gustavo Franco, Brasil

Índices de felicidade corrente e futura no Brasil: aspectos conceituais e determinantes económicos

Os problemas conceituais nos indicadores subjetivos de felicidade, em torno dos quais surgiu uma imensa literatura acadêmica recente, remontam aos primórdios da disciplina, mas os avanços recentes na interface entre a economia e a psicologia, bem como o desenvolvimento da chamada ’economia experimental‘, abriram novas frentes para a construção e para o uso desses indicadores, seja para a pesquisa, seja para a definição de novos rumos nas políticas públicas. De entre as questões mais importantes desta nova área de pesquisa está a relação entre o nível de renda, ou mais genericamente o progresso econômico, e os índices de felicidade corrente e futura de diferentes países. Existem muitos paradoxos nessa relação, um dos quais amplamente presente em muitas pesquisas que é o resultado empírico segundo o qual é pequena e limitada a influência do progresso material para a definição do nível de felicidade. É nessa linha que surgem questionamentos em torno da ideia de que o crescimento do PIB seja a principal meta das políticas públicas, possivelmente em detrimento de outras dimensões da vida em sociedade. Os números para o Brasil, todavia, sugerem uma leitura cautelosa desses paradoxos; talvez seja prematuro abandonar os indicadores estritamente econômicos de afluência. A despeito de ser um país emergente de renda média, o índice de felicidade corrente, medido sistematicamente pelo Gallup Poll, tem estado no primeiro quartil da distribuição global e, o índice de felicidade futura para o Brasil, tem estado no primeiro lugar do mundo nos últimos 5 anos. Os resultados brasileiros, bem como seus determinantes, permitem um excelente ponto de vista para uma discussão mais ampla sobre o significado, alcance e implicações para políticas públicas dos índices de felicidade, tal como habitualmente calculados.

Gustavo H. B. Franco é membro do Conselho de Administração do Banco Daycoval (Conselheiro Independente) e também do Conselho de Administração da Globex Utilidades S/A. Brasileiro, Bacharel (1979) e Mestre (1982) em Economia pela PUC/Rio de Janeiro e M. A. (1985) e Ph.D (1986) pela Universidade de Harvard. Foi professor, pesquisador e consultor em assuntos de economia, entre 1986 e 1993, especializando-se em inflação, estabilização e economia internacional. Em seguida, no serviço público, entre 1993 e 1999, foi Secretário de Política Económica (adjunto) do Ministério da Fazenda, Director de Assuntos Internacionais e Presidente do Banco Central do Brasil. Teve participação central na formulação, operacionalização e administração do Plano Real, entre outras atividades. Após ano sabático na universidade (1999), fundou a Rio Bravo Investimentos (2000), empresa de investimentos, onde actualmente tem a sua ocupação principal. Tem participado em diversos conselhos de administração, consultivos e de eventos corporativos, como palestrante.

(11h15/11h40 pausa para café)

11h40 – Benjamin Arditi, México

O ‘becoming-other’ da política: O Pós-liberalismo e a política viral são o nosso próximo futuro

Gostaria de propor dois critérios que tentam compreender a ’transformação‘ da política. Um deles é já trabalharmos num contexto pós-liberal, considerando que dois pilares do liberalismo já foram ultrapassados: a política vai além do quadro da representação eleitoral e transcende as fronteiras territoriais do estado soberano. O segundo marcador é o de que as pessoas que não se conhecem podem agir em concertação sem necessitarem sempre das estruturas de comando habituais dos partidos políticos e dos movimentos sociais. O rizoma, os sistemas abertos de Deleuze com múltiplos pontos de entrada, funciona como uma imagem de pensamento para esta forma de coordenação. Vou utilizá-lo para falar da conectividade viral e da política viral que têm tirado partido dos novos meios de comunicação. Vou discutir estes dois indicadores do becoming-other da política, através de uma breve análise de uma série de insurreições que vão desde “Todos têm de ir embora, não pode ficar um sequer”, na Argentina, ao movimento estudantil no Chile, este ano, às rebeliões actualmente em curso, na zona do Magrebe, e ao movimento M-15, em Espanha. O meu pressentimento é o de que estas insurreições, qualquer que seja o seu desfecho, são aquilo que Fred Jameson designa de «mediadores em desaparecimento», neste caso, mediadores que funcionam como sintomas do nosso becoming-other. Concluirei com uma breve resenha sobre política viral e tentarei avaliar os seus prós e contras.

Benjamin Arditi é professor de Política na Universidade Nacional do México (UNAM). Fez o seu doutoramento na Universidade de Essex, no Reino Unido, leccionou nas Universidades de Santa Catarina (Brasil), Maryland (EUA) e Essex (Reino Unido) e foi professor convidado nas Universidades de Edimburgo e St. Andrews. No Paraguai, trabalhou como director de investigação numa ONG, desenvolvendo ao mesmo tempo a actividade de jornalista e activista. Após a queda de Stroessner, fundou uma campanha nacional de educação cívica. A sua obra mais recente intitula-se “Politics on the Edges of Liberalism. Difference, Populism, Revolution, Agitation” (Edimburgo, 2007) e co-editou “Taking on the Political”, uma série de livros sobre o pensamento político no continente, publicado pela Edinburgh University Press. O seu trabalho mais recente incide no becoming-other[1]* da política, designadamente no pós-liberalismo, política viral e pós-hegemonia.

Moderador: António Pinto Ribeiro, Programa Gulbenkian Próximo Futuro

(12h45/14h00 Pausa para almoço)

14h30 – Serge Michailof, França

Um planeta descontrolado: De que vale a ajuda ao desenvolvimento?

A opinião pública das nossas sociedades da abundância ainda não entendeu que os países ricos deixaram de controlar as imensas alterações que têm ocorrido no mundo em desenvolvimento. O nosso planeta transformou-se numa aldeia global pelo que os choques demográficos e ambientais em curso, quer nos países mais pobres, quer nas econ omias emergentes do Sul, passaram a ter um impacto sobre o conforto, o modo de vida e as crenças do Norte.

Tensões vão-se agudizando em várias regiões onde a miséria e as frustrações fervilham. Se quisermos evitar que uma espiral descendente alastre do Corno de África para África Central, é fulcral perceber a razão pela qual a ajuda quase sempre redundou em fracasso nos Estados frágeis. A esse respeito, é comprovadamente essencial erguer instituições estatais, sendo certo que esse objectivo não se encontra na mira das intervenções militares externas nem nunca constituiu uma prioridade da assistência humanitária e para o desenvolvimento, mais focada na beneficência a curto prazo do que na sustentabilidade a longo prazo.

Num contexto em que o esgotamento dos recursos do planeta assume uma magnitude sem precedentes, as instituições da ajuda ao desenvolvimento podem tornar-se parceiros relevantes no intuito de ajudar, quer os países ricos, quer os países emergentes, na co-gestão dessas questões cruciais, assim como a implementar estratégias de partilha mais astutas. À medida que vamos sendo confrontados com um mundo mais instável, uma nova abordagem da ajuda ao desenvolvimento alicerçada nos interesses comuns do Norte e do Sul revela-se não somente possível como necessária e até imprescindível.

Serge Michailof tem-se debruçado sobre questões de desenvolvimento desde 1968. Actualmente, lecciona sobre desenvolvimento económico e programas de ajuda no Institut National des Sciences Politiques, em Paris. É um consultor regular do Banco Mundial e de outras instituições de solidariedade sobre países em desenvolvimento e reconstrução pós-conflito, focando-se especificamente na construção de instituições e de Governos. É assessor de vários Governos. Estudou em França (MBA na HEC-École des Hautes Études Commerciales, doutorado em Economia e mestre em Antropologia) e nos Estados Unidos (MIT). Publicou e/ou coordenou cinco obras ”Notre Maison Brûle au Sud, Que Peut Faire l’Aide au Développement?” (Fayard, 2010),  ”A Quoi Sert d’Aider le Sud? ” (Ed. Economica, 2007), ”La France et L’Afrique” (Karthala, 1993), ”Les Apprentis Sorciers du Développement” (Ed. Economica, 1987) e, em conjunto com Manuel Bridier, ”Guide Pratique d’Analyse de Projects d’Investissements” (Ed. Económica, 1995, 5ª edição), um livro didáctico bem conhecido. Publicou também numerosos artigos sobre questões de desenvolvimento. Faz parte do Conselho de Administração do CIAN (Conseil des Investisseurs Français en Afrique). Foi agraciado com a Legião de Honra e a Ordem de Mérito francesas, assim como com a Ordem Nacional do Leão, do Senegal.

(15h15/15h40 pausa para café)

15h40 – Elikia M'Bokolo, República Democrática do Congo

Como será África num futuro próximo?

África preocupa alguns, inquieta, com ou sem motivo, pela perspectiva das hordas migratórias arrastadas numa onda desenfreada rumo aos paraísos consumistas do ’Ocidente‘ ou do ’Norte‘, consoante os casos. África também regozija muitos outros, seja pela espectacularidade daqueles invejáveis corpos musculados em qualquer prova desportiva, seja pela audição daqueles ritmos e sons tão longínquos, tão estranhos e, simultaneamente, tão familiares, como se fossem expectáveis. Uma coisa é certa: África interroga, África interpela, África perturba. África, mas que África? A forma como olho para o próximo futuro de África decorre do olhar de um africano que conhece África, por lá viver, por estudá-la e por ali criar, que conhece também o mundo pelas mesmas razões  e para quem a imaginação, a vontade e, porque não dizê-lo, o sonho, assentes numa observação escrupulosa, formam a melhor chave para tornar real o possível e para abrir as portas de um futuro inesperado, melhor que o nosso presente. Regeneração, renascimento? Se a efervescência religiosa indica o vigor das expectativas e se a criatividade artística dá conta da multiplicidade dos possíveis, fá-lo-ão no entanto à custa de uma auto-invenção ou reinvenção intelectual e moral para que os africanos assumam, em moldes inovadores, os profundos desafios que os tempos presentes deixam adivinhar.

Elikia M’Bokolo formou-se pela École Normale Supérieure e com agregação universitária e é director de estudos na École des Hautes Études en Sciences Sociales, bem como docente na Universidade de Kinshasa. Para além disso é autor de diversas obras de referência e produtor de “Mémoire d’un Continent”, para a Radio France Internationale, um programa radiofónico semanal dedicado à história de África e às suas diásporas. De entre as suas obras escritas e audiovisuais mais recentes, destacam-se “Afrique noire. Histoire et civilisations” (2005), “Médiations africaines. Omar Bongo et les défis diplomatiques d’un continent” (2009), “Afrique. une histoire sonore”, 1960-2000(com Philippe Sainteny, 2001), “L’Afrique littéraire. Cinquante ans d’écriture” (com Philippe Sainteny, 2008), “Africa : 50 Years of music. 50 ans d’indépendances” (2010) e “Afrique(s). Une autre histoire du XXe siècle” (filme documentário, 4 x 90’, de Elikia M’Bokolo, Philippe Sainteny e Alain Ferrari, 2010).

Moderador: João Gomes Cravinho, Embaixador da EU em Nova Deli

19h00 – Inauguração da Exposição de Fotografia de Roberto Huarcaya, em colaboração com a Casa da América Latina,  no Palácio Galveias, Lisboa

O trabalho do fotógrafo peruano Roberto Huarcaya, vencedor do Prémio Petrobrás Buenos Aires – Photo 2010, vai ser apresentado pela primeira vez em Portugal na exposição Subtil Violência, que abre ao público no dia 16 de Novembro, a partir das 19h, no Palácio Galveias. Com curadoria de António Pinto Ribeiro, a proposta de Huarcaya resulta de um projecto de investigação em torno das representações visuais alusivas à construção da comunidade histórica peruana, partindo de referências locais, no sentido de expandir a sua leitura e as suas influências ao nível nacional, regional, continental e, finalmente, global. As fotografias que agora se apresentam são, nas palavras do próprio artista, “propostas que nos vão dando pistas, informação sobre diversas coordenadas temporais, espaciais e formais, sobre este lentíssimo processo de misturas, desenvolvimento e tensão, de mudanças constantes, que levam o país a transitar, de um modo disperso, para esse propósito de se constituir como nação.”

Roberto Huarcaya nasceu em Lima, em 1959. Estudou Psicologia e Cinema, em Lima, e Fotografia em Madrid. Em 1989, começou a dedicar-se à fotografia. Participou na Bienal de Havana de 1997, nas Bienais de Lima de 1997, 1998 e 2000, na Primavera Fotográfica de Catalunha, em 1998, na PhotoEspaña, em 1999, e na Bienal de Veneza de 2001. A sua obra está representada nas colecções do Fine Arts Museum de Houston e do Center on Contemporary Art (COCA) de Seattle, do Museu de Arte de Lima, da Fundación América em Santiago do Chile, do Centro de Arte Contemporáneo Wilfredo Lam em Havana (Cuba), para além de diversas colecções privadas. Em 2010, venceu o Prémio Petrobrás Buenos Aires de Fotografia.

Todos os ev entos têm entrada livre, sendo que as conferências dos dias 15 e 16 de Novembro têm tradução simultânea assegurada, bem como transmissão on-line, em versão compatível com IPHONE | IPAD | Android: http://www.livestream.com/fcglive ou http://live.fccn.pt/fcg/ .

Mais informações: [email protected]


[1] *Becoming-other – Abertura da política à mundialização, fora do eixo convencional da autoridade a nível local.